samedi 21 juillet 2012

Une majorité conservatrice au Parlement britannique en 2015 et la fin du Royaume-Uni

Avec le référendum en Écosse qui vient, dans toute vraisemblance, en 2014 la question de la construction du Royaume Uni est, tout d'un coup, un enjeux qui doit être consideré sérieusement. Le parti principal du gouvernement, le parti conservateur, n'atteignit qu'un siège en Écosse en 2010 tandis que le parti travailliste maintenait sa position dominante.

Mais, le système britannique désignait en manière qu'un gouvernement doive inspirer un pourcentage respectable dans chaque état du Royaume Uni. Le niveau necessaire pour une majorité dans le Parlement est suffisamment haut que le droit democratique de touts les citoyens soient respecté. C'est pourquoi nous avons un gouvernement coalition. Le parti conservateur, à juste titre, ne peux pas diriger le Royaume Uni tout seul grâce à sa popularité dans un ou deux états.

Dés lors, le prochain scrutin va être difficile pour le parti conservateur, en supposant que le Royaume Uni existe. Sauf qu'une augmentation vive dans la popularité du parti conservateur écossais dans les années qui viennent, le parti devra casser le systéme democratique avec les majorités enormees dans les autres états membres du Royaume Uni qui mettrait l'avenir du pays et l'unité en doute. La réalité actuelle, il n'y a pas aucun parti britannique qui peux unir le pays. La politique de la régionalisation commença par le dernier gouvernement- designe pour l'avantage politique du parti travailliste - tandis que c'était necessaire, a devisé irrémédiablement le pays.

Le résultats en 2010 nous montre la force du Parlement britannique et son système du scutin, la majorité simple des suffrages. Avec ce système, les grandes majorités dans une région ne correspond pas à une majorité globale: pour gagner une majorité avec ce système du scutin, un parti doit avoir un soutien vaste. Par contre, actuellement le systéme ne marche pas parce que le Royaume Uni n'a plus une tendance identique dans un sens politique. Jusqu'à ce que un parti puisse tenir un soutien vaste,  ce serait difficile d'avoir un gouvernement majoritaire à Londres.

Le parti conservateur écossais doit  améliorer sa performances. Si il ne fait pas, un gouvernement conservateur dans l'avenir pourrait menacer le Royaume Uni soi-même. Alors que c'est à peu près réalisable que le parti conservateur pourrait gagner une majorité sans les sièges en Ecosse, le système designait à manière que ce soit difficile: le mechanisme est une forcé mais aussi une fragilité pour le Royaume Uni de nos jours. L'avenir du Royaume Uni est en balance.  
              

lundi 9 juillet 2012

La politique de V.Poutine: la politique de la Russie de la chute de l'URSS jusqu'au aujourd'hui

La politique de la Russie, c'est vraiment intéressante. C'est un pays qui n'a pas adopté les valeurs européennes dans toute leur intérgralité, en tant que avec les anciens états satellités. Une superpuissance tombée qui n'a pas trouvé un autre rôle. C'est un pays nostalique, un pays en mutation qui veut resister le changement.

La société civile n'a pas vraiment eu de la chance de dévélopper en Russie. Elle est un pays en plein déclin, qui ne veut pas admettre la vérité. Sa position au Conseil de sécurité a été décrit en tant que " analogue à celle des autres puissances de second rang, France et Royaume-Uni". Sa position militaire a aussi dimunué considérablement. En 2007, la Russie avait "seuls quatre satellites d'alerte sur neuf fonctionnaient: un géostationnaire et trois en orbite elliptique".  Par les traités, la Russie a maintenu certains bases militaires en asie centrale et l'europe de l'est, cependant  les états de l'asie centrale sont "loin d'apporter une réponse unique aux tenatives russes" de préserver sa sphère d'influence.  Celles bases ont souvent été allouées pour une période de 20 ans. La Russie a signé une traité avec l'Ukraine en 1997 qui  signifie qu'elle va tenir une base marine jusqu'à 2017 sur la mer noire. La Russie a aussi signé le bail d'utiliser le cosmodrome de baïkonour, au Kazakstan pour une période de 20 années dés 1994, qui est centrale au programme spatial russe. Cependant la chose qui unite touts ces projets, c'est l'image des reliques des temps passés.

Les peuples optent pour un homme fort comme Poutine avec l'espoir de cacher le declin, un symbol duquel est l'émpliètement de l'OTAN autour de la territoire russe. Le traité de Tachkent, qui a précipté la création de la CEI en 1992,  fut une tentative d'arrêter l'avance de l'OTAN. Cependant, depuis sa création, trois pays qui l'ont signé en ont condamné. Les anciens états satellités ont fui la Russe vers l'Union Européenne pour l'éssentiel.

L'autocratié, c'est le chemin de la Russie, symbolisé par Vladmir Poutine.  La Russie dés le tsar n'a que su l'autocratié, soit avec l'URSS ou la Russie de nos jours.

L'idée des libéraux de l'europe que la valeur la plus haut que les peuples peuvent tenir, c'est la democratié n'est pas vrai, surtout en Russie. La politique de la Russie vers la Syrie et la Chine, dès lors, ne doit pas être suprenant. La politique de V. Poutine est pragmatique. Elle n'est pas fonder sur les droits de l'homme ou les politiques libéraux. Du coup, la politique vers la Syrie et la Chine represente la tentative Russie de protéger ses intérêts, un esprit de la guerre froide qui n'a pas changé. L'avenir pour la Russie, c'est une continuation de la passé: dès lors, un dirigeant comme Poutine est naturel.